Rates of motor seizure development in rats subjected to electrical brain stimulation: strain and inter-stimulation interval effectsDegres de developpement des crises motrices chez des rats soumis a une stimulation electrique cerebrale: effets de l'espece et de l'intervalle du stimulation

https://doi.org/10.1016/0013-4694(73)90033-3Get rights and content

Abstract

Three rat strains were tested at 4 inter-stimulation intervals for the development of motor seizures by repeated amygdaloid stimulation. Wistar rats required a significantly greater number of stimulations to develop motor seizures than did Sprague-Dawley or RVH-hooded rats. There were no significant differences between 24 h, 2 h, or 1 h inter-stimulation intervals with respect to number of stimulations required to develop seizures. There was, however, a significant increase in the number of stimulations required when the inter-stimulation interval was 0.5 h.

A second experiment indicated that the retardation of seizure development at short inter-stimulation intervals involved a blockade of the neural changes underlying seizure development and was not simply a result of a blockade of the behavioral expression of those developments. Subjects were pre-treated with a large number of stimulations with short inter-stimulation intervals (15 min). Following a rest period, a subsequent testing period utilizing 24 h inter-stimulation intervals showed that very little seizure development had taken place during the previous period of massed stimulation.

Résumé

Trois espéces de rats ont été testées pour mesurer le développement de crises montrices par stimulation répétées de l'amygdale à quatre intervalles interstimulation. Les rats Wistar nécessitent un nombre de stimulations significativement plus élevé que les rats Sprague-Dawley ou les rats RVH-cornus pour que les crises motrices ne se développent. Il n'y a pas de différence significative entre des intervalles inter-stimulation de 24 h, 2 h ou 1 h en ce qui concerne le nombre de stimulations nécessaires pour provoquer des crises. Il y a cependant une augmentation significative du nombre de stimulations nécessaires quand l'intervalle inter-stimulation est d'une demi-heure.

Une deuxième expérimentation indique que le retard de développement des crises dans le cas d'intervalles de stimulation courts implique un blockage des changements neuroniques qui sous-tendent le développement de la crise et ne résulte pas simplement d'un blocage de l'expression comportementale de ce développement. Les sujets ont été pré-traités par un grand nombre de stimulations à court intervalle inter-stimulation (15 min). Aprés une période de repos, une nouvelle période de tests utilisant des intervalles inter-stimuli de 24 h montre que trés peu de crise ne se sont développées au cours de la période de stimulation massive antérieure.

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